Un jeu, pour les élèves d'Ecole primaire, lié à l'exposition Retour à Jaffna.

Texte niveau B2-C1

“In Edward's Eyes” is a short film that presents the work of Edward Hopper through 16 paintings on a simple scenario, a love story between the painter narrator and a woman. The idea is to visit a part of Edward Hopper's work in a romantic or poetic way and to bring the spectator to (re) discover an author through an original story.

Une Nouvelle extraite de Béziers à Contre-Allées aux Editions Estelas

Poème interprété par les Enfoirés. Vidéo, analyse et jeu pour la classe de FLE niveau B1/B2.

Béziers, a walk aside. Janet Daldy's corrections.

Je recherche une voix de femme pour interpréter ce texte ? contact@jeanpaulfaure.com

Extrait de Crissements de sable

Niroshini Gunasekara, professeure de Français et docteur à l'Université de Kelaniya, a accompli un remarquable travail de traduction en cinghalais avec la nouvelle "L'arganier".

Une nouvelle bouleversante en Version MP3, lu par l'auteur et mis en musique

Le Plateau des poètes, La Planicie de los poetas, traduit par Anne-Marie Sabatié

Traduction de Bayan, le roman de Pramudith Rupasinghe. 1er chapitre.

Version anglaise. Translation : Christine Scott Fox. Moussa woke up in the Airbus A300 still feeling agitated. The handcuffs had not been removed, and his guard occupied the adjoining seat. Moussa had not realised that the last drink he had been given after leaving the Vincennes immigration detention centre had contained a powerful sleeping drug.

Un fichier audio enregistré par l'auteur avec l'aide de Ravel...

Béziers, a walk aside. Janet Daldys's corrections.

Poème mis en musique et interprété par Jean Ferrat. Vidéo, analyse et jeu pour la classe de FLE niveau B1/B2.

Lecture musicale, Hommes et femmes de Julos Beaucarne

Lu par l'auteur. Extrait de Béziers, à Contre-Allées.

Translation in English - Traduction de "Retour à Jaffna" publié aux Editions KailasH. Chapter 1 - Strasbourg

Un texte extrait de Crissements de sable traduit par Christine Scott Fox

À l’occasion d’un bref échange sur Internet en novembre 2019 avec Fabrice Plançon, directeur de l’Alliance Française du Bengale, ami de longue date, j’ai émis l’envie d’animer à Calcutta dans son Alliance un atelier d’écriture créative. Sa réponse fut instantanée : « Viens, maintenant ! » Après quelques correspondances avec son équipe : Tiphaine Mayran directrice adjointe, Roxane Gueguen chargée de la culture et Axelle Le Squer professeur de FLE, une feuille de route a été fixée. Arrivé à Calcutta, un premier rendez-vous avec Axelle Le Squer a permis de préciser la thématique de ces ateliers créatifs : le Voyage, décliné ici en trois volets : récit, poésie et collage. Le présent document retranscrit le travail accompli ensemble au cours de ces cinq journées. L’implication des participants a été épatante, chacun s’est pris au jeu de l’atelier avec facilité, sérieux et enthousiasme. La difficulté a été de réguler les différents niveaux de langue (du A1 au B2) pour arriver à un effort adapté à chacun. L’autre obstacle a été de mobiliser aussi les participants sur trois ou quatre jours consécutifs, d’où l’intérêt d’aménager un atelier complémentaire pour remédier aux éventuelles absences. Chaleureux remerciements donc à l’ensemble de l’Alliance française du Bengale : étudiants, personnel académique et administratif, comité exécutif, qui a su m’accueillir avec flamme et générosité à l’occasion de cet atelier de langue française du 7 au 10 février 2020

Lu par l'auteur. Extrait de Béziers, à Contre-Allées

Béziers, A walk aside - Janet Daldy's correction

Mediodía en el sur de Argelia, en el Hoggar, un macizo montañoso al oeste del Sahara. Una mujer tuareg se alejaba de su campamento para recoger leña.

Poème mis en musique et interprété par Hélène Martin. Video, analyse et jeu pour la classe de FLe niveau B1/B2.

Traduction de l'anglais du carnet de voyage de Patricia Melander. Tout d’abord il s’agit du récit d’un exploit, celui d’une femme qui se donne le défie de parcourir 815 km à vélomoteur entre les extrémités Sud et Nord de Sri Lanka. Ce pays, dont l’infrastructure routière est souvent défaillante malgré des efforts récents, possède une des densités humaines les plus élevées de la planète et où, de surcroît, les habitants adorent se déplacer fréquemment d’un bord à l’autre de l’île sur les moyens de transport les plus variés : depuis l’extérieur des trains, dans les vieux bus bondés, à 3 sur un vélo, motos, autos, en tuk tuks, à dos d’éléphants et même en chars à bœufs. Comme dans de nombreux pays, la place des femmes dans la société sri lankaise est difficile. Souvent reléguées aux travaux les plus pénibles : ouvrières dans des usines dortoirs, cueilleuses à vie dans les plantations de thé, démineuses des zones de guerre où les mines anti personnels ont parfois tué leurs maris ou leurs enfants. Elles sont mal et peu considérées. C’est dire, si le regard porté sur une femme voyageuse à vélomoteur s’avère pour le moins ferme, parfois dur, ou encore trouble. Le cliché admis, c’est d’appartenir à une catégorie reconnue : touriste, humanitaire dans une ONG, diplomate, etc. Mais que penser d’une femme européenne à vélomoteur chargée d’un bagage léger sur des routes lointaines ? Et pourtant face à ce regard porté sur elle, Patricia Melander sait toujours rester bienveillante en dépit d’angoisses menaçantes. Elle sait aussi s’attacher aux situations de vie les plus simples et en retenir la richesse. Dans ce récit, on pourrait penser aussi que la communication, les échanges ou les dialogues sont peu denses. Ils sont à l’image d’une société et de son histoire où le silence prévaut et prédomine encore malgré les évolutions techniques. À Sri Lanka, le silence marque le respect, la sérénité et le refus de l’offense. Ce carnet de voyage respire donc ce pays dans sa quintessence avec seulement quelques mots : simplicité, bienveillance, solitude et prouesse.

Une autre version lue par Marie Stéphanie Chamalaud.