Un texte extrait de Crissements de sable lu par l'auteur.

Une Nouvelle extraite de Béziers à Contre-Allées aux Editions Estelas

La méthode oh Hisse. Le diaporama sonorisé présente les 6 étapes de création d'un synopsis.

Etude du poème de Raymond Queneau chanté par Juliette Greco. FLE niveau A2,B1

Un jeu, pour les élèves d'Ecole primaire, lié à l'exposition Retour à Jaffna.

Ce document propose des questions de compréhension orale, puis écrite. Il s'inscrit dans le cursus d'apprentissage du Français Langue Etrangère, niveau B2. Il nécessite au préalable de télécharger la version audio MP3 correspondante, accessible sur ce site.

English translation from Crissements de sable by Jean-Paul Faure, translator Christine Scott-Fox

Un texte extrait de Crissements de sable traduit par Christine Scott Fox

Ce document est un guide illustré non touristique à caractère social et humain d'un pays encore peu ou mal connu.

Poème, lu par l'auteur avec toujours Gabriel Fauré.

Version française. Moussa se réveilla encore fébrile dans l’airbus A300. Toujours menotté, son gardien situé sur le siège d’à côté. Moussa ne s’était pas vraiment rendu compte que la dernière boisson, prise après avoir quitté le centre de rétention de Vincennes, contenait un puissant soporifique.

Boris Vian écrit Le déserteur. Reggiani interprète

Chapter 1 - Le Plateau des Poètes ( The Poet's Park)

Lu par l'auteur.

Extrait de Crissements de sable

1959, année cruciale pour Paul. Il avait 20 ans et ne voulait pas faire son service militaire en Algérie. Il savait ce que cela signifiait.

Chanson, poème des Contemplations de Victor Hugo, réinterprété par Françoise Hardy. Etude et jeu pour la classe de FLE nineau A2/B1.

Extrait de Crissements de sable, publié début août 2016

Traduction de l'anglais du carnet de voyage de Patricia Melander. Tout d’abord il s’agit du récit d’un exploit, celui d’une femme qui se donne le défie de parcourir 815 km à vélomoteur entre les extrémités Sud et Nord de Sri Lanka. Ce pays, dont l’infrastructure routière est souvent défaillante malgré des efforts récents, possède une des densités humaines les plus élevées de la planète et où, de surcroît, les habitants adorent se déplacer fréquemment d’un bord à l’autre de l’île sur les moyens de transport les plus variés : depuis l’extérieur des trains, dans les vieux bus bondés, à 3 sur un vélo, motos, autos, en tuk tuks, à dos d’éléphants et même en chars à bœufs. Comme dans de nombreux pays, la place des femmes dans la société sri lankaise est difficile. Souvent reléguées aux travaux les plus pénibles : ouvrières dans des usines dortoirs, cueilleuses à vie dans les plantations de thé, démineuses des zones de guerre où les mines anti personnels ont parfois tué leurs maris ou leurs enfants. Elles sont mal et peu considérées. C’est dire, si le regard porté sur une femme voyageuse à vélomoteur s’avère pour le moins ferme, parfois dur, ou encore trouble. Le cliché admis, c’est d’appartenir à une catégorie reconnue : touriste, humanitaire dans une ONG, diplomate, etc. Mais que penser d’une femme européenne à vélomoteur chargée d’un bagage léger sur des routes lointaines ? Et pourtant face à ce regard porté sur elle, Patricia Melander sait toujours rester bienveillante en dépit d’angoisses menaçantes. Elle sait aussi s’attacher aux situations de vie les plus simples et en retenir la richesse. Dans ce récit, on pourrait penser aussi que la communication, les échanges ou les dialogues sont peu denses. Ils sont à l’image d’une société et de son histoire où le silence prévaut et prédomine encore malgré les évolutions techniques. À Sri Lanka, le silence marque le respect, la sérénité et le refus de l’offense. Ce carnet de voyage respire donc ce pays dans sa quintessence avec seulement quelques mots : simplicité, bienveillance, solitude et prouesse.

Traduction de Bayan, le roman de Pramudith Rupasinghe. 1er chapitre.

Version bilingue en série : texte français, puis anglais.

À l’occasion d’un bref échange sur Internet en novembre 2019 avec Fabrice Plançon, directeur de l’Alliance Française du Bengale, ami de longue date, j’ai émis l’envie d’animer à Calcutta dans son Alliance un atelier d’écriture créative. Sa réponse fut instantanée : « Viens, maintenant ! » Après quelques correspondances avec son équipe : Tiphaine Mayran directrice adjointe, Roxane Gueguen chargée de la culture et Axelle Le Squer professeur de FLE, une feuille de route a été fixée. Arrivé à Calcutta, un premier rendez-vous avec Axelle Le Squer a permis de préciser la thématique de ces ateliers créatifs : le Voyage, décliné ici en trois volets : récit, poésie et collage. Le présent document retranscrit le travail accompli ensemble au cours de ces cinq journées. L’implication des participants a été épatante, chacun s’est pris au jeu de l’atelier avec facilité, sérieux et enthousiasme. La difficulté a été de réguler les différents niveaux de langue (du A1 au B2) pour arriver à un effort adapté à chacun. L’autre obstacle a été de mobiliser aussi les participants sur trois ou quatre jours consécutifs, d’où l’intérêt d’aménager un atelier complémentaire pour remédier aux éventuelles absences. Chaleureux remerciements donc à l’ensemble de l’Alliance française du Bengale : étudiants, personnel académique et administratif, comité exécutif, qui a su m’accueillir avec flamme et générosité à l’occasion de cet atelier de langue française du 7 au 10 février 2020

Un dimanche matin, les sens en tout sens, un petit poème de printemps.

Tout d’abord, les 2 ingrédients d’un récit c’est l’émotion, et le voyage dans le temps et l’espace. Le stimulus, tant de la lecture que de l’écriture c’est l’émotion : la surprise, la découverte, l’aventure, l’amour, la souffrance (trop souvent), l’injustice, etc. La méthode d’écriture simple proposée ici repose sur le modèle sémiotique inspiré par Propp et Greimas (voir page suivante). J’y ajoute quelques postulats et arrangements.

Un fichier audio enregistré par l'auteur avec l'aide de Ravel...

Béziers, A walk aside - Version corrigée avec l'aide de Janet Daldy

Béziers, A walk aside _ Janet Daldy's corrections